Souvenir et imagination roman

Je viens d’être nomme au collège lumière a Besançon c’est une promotion je passe en première catégorie l’atelier de menuiserie est inexistant mon atelier est dans un grenier une chambre ou a coté une fille y loge et travail aux cuisines. Yvette régulièrement vient se reposer ; et moi a coté dans cette pièce y bricolant et comme l’administration cherche à me décourager de militer, et peut être que j’ai des relations avec cette fille  qui a souvent la nuit des visites masculines ; A plusieurs reprise au début d’après midi yvette viens se reposer et a plusieurs reprise j’ai été invité dans sa chambre et combien de fois je me sentis envie d’avoir avec elle des relations et un jour j’ai fais le pas je l’ai embrassé elle a répondu par un long baiser a ce moment j’ai vu que l’on pouvait venir me surprendre

j’ai arrêté là mon aventure et quelques jours plus tard j’ai demandé officiellement un atelier pour pouvoir travaille  sans  dérangement pour la cuisinière devant mes réclamations j’obtiens un local au rez-de-chaussée dans un petit bâtiment un très petit il mesure 3 sur 3 mètres au milieu une combiné machine a bois, je ne peux tourner autour pour raboter un morceau de bois il faut ouvrir la porte. L’intendant est ancien militaire qui ne s’intéresse absolument pas de moi et se refuse à écouter et comprendre mes revendications sur l‘insécurité de l’atelier, j’en parle à la directrice une femme forte volubile aime à se montrer nue depuis son appartement que j’apercevais depuis la chambre mon ancien atelier c’est à cause de ces vues que des relations avec yvette auront des conséquences difficiles pour moi et le syndicat que je représente 

; j’ai expliqué à yvette que j’ai envie d’elle mais que ma responsabilité syndicale m’oblige à un comportement le plus sérieux possible elle compris et elle me demanda de lui faire une carte syndicale. Lors d’une réunion syndicale yvette a fais confidence que l’intendant lui avait fais part qu’elle devrait me séduire pour être nommé dans l’éducation là je compris combien ma prudence était nécessaire. Maintenant je vais vous narrer l’évènement de la directrice qui pose problème, ce que je devais comprendre, quel comportement a avoir. La Directrice me demande de l ‘accompagner dans les couloirs pour vérifier les extincteurs ceux a poudre et a eau et enlever ceux qui sont vide et vérifier les goupilles de sécurités souvent les élèves s’amuse à les enlever.

Au premier étage près de la chambre d’yvette un extincteur que je descend je le prends par dessous la directrice est devant moi je ne sais quel malencontreux geste que je fais l’eau de l’extincteur sort a grand jet devant l’évènement au lieu de me retourner pour éviter de gicler la directrice au contraire je me mis a rire, et le jet arrose le devant de ma grande a plusieurs reprise et comme elle est habillé de matière de nylon qui deviens très transparent a l’eau sa jupe sa culotte comme si elle en avais pas devant cette vue je me mis a rire encore plus fortement, ce qui ne l’offusqua pas. Elle m’interpelle : .Monsieur morel descendez avec moi pour aller me changer et nous verrons là

je crains une sanction elle passe devant la salle des professeurs ouvre la porte se poste devant et s’adresse aux prof que chacun la regarde la dans sa nudité , se voyait nettement les mamelles et surtout le chat noir de poil. Elle : voyer ce que ma fais monsieur morel il m’en a mis partout ces paroles ont provoquée l’hilarité générale un professeur a osé dire : En plus les syndicalistes on toujours des bons jets. Ensuite elle m’emmène chez elle me paye un café et se déshabille, je la trouve nue devant moi 

; ce grand corps bien beau qui me fis envie,

je n’ai pas eu le temps de réfléchir à la situation

mon imagination ce qui aurais pu se passer

qu’elle me tire contre elle se frotte et debout je la pénètre, sur bord de la table, une forte table solide, je ne trouvé le temps long cela ce passe tellement rapidement j'éjaculé en elle et dans l’oreille je

sou flotte < maintenant c’est vrai je vous ai mis partout, > on se défait de cette étreinte elle ce retour les fesses contre moi je la pelote mes mains sont pleines elle a de beaux et gros nichons qui m’existent de nouveaux, ses miches se frotte contre moi et la, je décide de la Pénétrer

Par derrière sur le bord de la table elle si prête en mettant Et allongeant ses bras sur la table je passe une main sur sa chatte par derrière une belle chatte très grosse des poils dur existant ensuite je glisse mon sexe et nous revoilà parti dans un ( va - et - viens lent ) et de plus en plus rapide elle souffle ma directrice, son dos frémit Ses Hanches que je saisis des deux mains a chaque mouvement De pénétration je me cramponne en la serrant contre moi, elle pousse de petits cris de plaisir, ce plaisir partager me fait éjaculer et de nouveaux je me maintiens en elle pour lui laisser tout ce qui sort de moi ce qui me fais un plaisir fort, à peine, que je me retire, que la sonnette d’entré sonne, la directrice se Relève me regarde amoureusement et en souriant D’un Geste rapide m’enserre la queue avec sa main elle me dit : elle mon fait du bien celle là ; puis elle Part ouvrir la porte comme cela toute nue, c’est sa bonne qui arrive qui ne fut pas surpris de sa nudité et même de ma présence.

La directrice s’adresse à sa bonne, que je connais déjà ; Ayant travaillé dans le logement de la directrice en sa présence. Nicole montrai à monsieur orel la fenêtre a ajusté de ma chambre. Bien répondit-elle. Je suivis la bonne en rajustant ma braguette restée ouverte.